Collaborer

Le MOOC est officiellement terminé mais ayant pris du retard, je continue mon petit bout de chemin à mon rythme. Me voilà donc sur la semaine 6 : Collaborer.

La première chose que j’ai appris durant cette semaine c’est que collaborer ne signifie pas coopérer. Collaborer sous-entend de produire quelque chose en commun alors que coopérer sous-entend plutôt de mettre ensemble des productions individuelles. Collaborer c’est donc créer une équipe qui aura à cœur de créer quelque chose qui appartiendra à tous.

Les outils d’une collaboration qui fonctionne

Une collaboration, ça s’organise grâce à des outils qui permettent d’effacer la difficulté de la distance (pour les projets menés via internet) ou de travailler efficacement en évitant la “réunionite”, mal relativement connu dans nos entreprises (pour les projets menés hors internet).

Résumons les différentes étapes d’une collaboration pour un petit projet :

Echanger les idées : Pour échanger des idées de façon plutôt ludique et faire un peu de brainstorming, je vous conseille un outil que j’ai découvert sur ITyPA et que j’adore : Padlet https://fr.padlet.com/.
Le principe est celui d’un tableau sur lequel on peut créer des post-it et y inclure à peu près n’importe quoi (image, lien, document…).
Le gros avantage de cet outil et qu’il est possible de le paramétrer pour qu’il soit en accès libre. Cela veut dire que les gens avec qui vous souhaiterait le partager n’auront pas besoin de s’inscrire sur le site pour poster sur le tableau. Et ça, c’est juste génial car dans la pratique, beaucoup de personnes rechignent à s’inscrire sur un service qu’elles connaissent à peine et qu’elles n’utiliseront pas en dehors du projet.
Un autre outil sympa pour discuter et échanger des idées : Framapad https://framapad.org/ Ici aussi, l’accès est complètement libre. Le principe est différent, il s’agit d’un tableau blanc sur lequel on peut écrire. Il est attribué une couleur à chaque participant, ce qui permet de différencier plusieurs auteurs. Pour information, vous trouverez sur le site de framasoft de nombreux outils libres et gratuits : un outil de mindmapping, un concurrent de doodle, du dessin vectoriel et d’autres encore.
A mon sens, Padlet et Framapad peuvent être utilisés de façon complémentaires. Padlet permet de partager mais pas d’écrire de longs exposés, Framapad si.

Créer et sauvegarder du contenu : Je ne conseillerai qu’un seul outil ici, celui que j’utilise exclusivement : la suite google. Google doc permet de créer plusieurs types de documents, les principaux éléments d’une suite bureautique classique sont disponible : éditeur de texte, tableur, présentation.
Google Drive permet de stocker tous les documents produits avec Google doc et d’importer des documents qui sont stocker sur sa machine. L’espace de stockage est de 10 Go. Si vous ne stockez pas votre collection de photos de vacances, vous aurez largement de quoi faire. Par ailleurs, un certain nombre d’outils en ligne peuvent s’installer sur votre drive sous forme d’application. Ça permet de créer des documents avec ces outils sans sortir de votre espace drive et d’enregistrer directement votre document avec les autres. C’est le cas des applications de Mindmapping LucidChart et Mindmeister pour ne citer que celles que je connais.

Partager du contenu : Pour partager votre contenu de façon restreinte ou très large, vous pouvez continuer à utiliser Google drive. Il est en effet très simple de partager avec qui l’ont veut tout ce qui se trouve dans votre espace de stockage. Vous pouvez ajouter à la main les personnes avec qui vous souhaitez partager le document. Seule ces personnes pourront avoir accès au document. Au contraire, vous pouvez rendre public votre document ou en contrôler l’accès en distribuant un lien secret. Vous pouvez aussi contrôler ce que les utilisateurs ont le droit de faire sur votre document : lire, commenter, ou modifier.
Le partage est aussi possible via les réseaux sociaux et les communautés Google +.

Organiser les tâches et suivre la progression du travail : Pour moi, l’outil idéal s’appelle TRELLO  : https://trello.com/. Que dire sur Trello… Il permet un découpage des tâches sous forme de petite carte. Chaque tâche peut être attribué à une personne. Des options peuvent être assignés à la tâche : deadline, degré de priorité… L’inconvénient de cet outil c’est qu’il nécessite une adhésion très forte des personnes qui l’utilise. Il faut d’abord que les gens soient inscrits pour participer à la gestion des tâches. C’est pour ça que même si je trouve cet outil génial, je n’ai encore jamais réussi à l’imposer dans mes projets en équipe. Ah ! Et Trello est encore une déouverte “ITyPA”.

Se parler : Pour une collaboration qui se déroule via internet uniquement, il est fondamental de pouvoir se parler régulièrement. D’abord pour maintenir un lien humain entre les participants mais aussi pour faire des réunions d’avancement des tâches. De nombreux outils répondent à ces objectifs. Si vous utilisez déjà les services de Google dont j’ai parlé au-dessus, vous pourrez utiliser Google Hangout, outil de visioconférence intégré à Google drive et qui permet de diffuser en live sur youtube. Hangout permet de réunir jusqu’à 10 personnes. Le concurrent direct de Google Hangout est Skype qui appartient à Microsoft. Ces deux services proposent aussi des chats qui permettent d’échanger si l’on ne possède pas le matériel nécessaire à la visioconférence, à savoir une webcam et un bon micro-casque.

Publier son travail : Il existe de nombreux sites qui permettent de publier le produit de tant de labeur. Pour rester dans la continuité, vous pouvez publier votre travail à partir de votre drive en configurant le partage pour que le document soit public. Cela a pour intérêt de garder votre document sur un seul service. Si cela vous est égal de le stocker à l’extérieur, des sites comme Youscribe (http://www.youscribe.com/Product/Publish/) ou encore Slideshare (http://www.slideshare.net/) vous permettront d’arriver à vos fins. Les réseaux sociaux vous serviront ensuite de caisse de résonance pour faire connaitre votre travail.

Je précise que quelque soit l’outil utilisé ou même sans outil, une collaboration qui fonctionne est avant tout une collaboration où chaque personne s’implique, donne d’elle-même et a la volonté de créer et de partager avec d’autres. Sans ça, l’outil le plus puissant du monde ne sera d’aucune utilité.

Je ne parle ici des outils que je connais bien et que j’utilise. Bien sûr il en existe beaucoup d’autres. J’invite mes lecteurs à me faire part des outils qu’ils utilisent pour collaborer en commentaire !

apprendre

Collaborer, c’est aussi apprendre

Il y a de très nombreuses façon d’apprendre. La plus courante est celle qui consiste à ouvrir des livres ou à écouter un expert délivrer un cours. Nous avons tous pratiqué cette façon là, car c’est celle qui est utilisée à l’École française. Mais il faut dire que ça devient très vite barbant et peu stimulant. La collaboration devient alors une très bonne manière d’apprendre.

Dans un premier temps, collaborer permet d’apprendre à connaitre des gens et ainsi de développer son réseau. C’est un aspect que j’apprécie de plus en plus avec le temps. Au cours de mes collaborations, j’ai rencontré des personnes très différents et j’ai toujours pris beaucoup de plaisir à travailler avec elles.

Collaborer c’est aussi apprendre ensemble et se former. La collaboration devient alors un moyen pour se former sur le tas à des choses que l’on ne sait pas forcément faire. L’avantage c’est que l’on n’est pas seul. En cas de difficulté, je peux faire appel aux autres et leur soumettre mon problème. Des solutions communes pourront alors être envisagées. Une collaboration qui fonctionne bien permet aussi de se remotiver entre membre d’une même équipe et de garder ainsi la bonne humeur nécessaire. A la fin de la collaboration, il est toujours intéressant de faire un bilan pour voir ce que l’on a appris, les difficultés que l’on a rencontré et les solutions qui y ont été apporté. Tout est formateur pour peu que l’on sache en tirer des leçons pour une prochaine fois.

Collaborer c’est aussi apprendre sur soi. Vous ne pensiez pas pouvoir manager votre équipe ? Pourtant vous l’avez fait sans vraiment le réaliser ! L’exemple est ici quelque peu réducteur. Collaborer c’est aussi apprendre à se connaitre, apprendre à connaitre ses limites, savoir ce que l’on est capable de faire, faire face à ses défauts et au final se remettre en question. Chaque collaboration doit être une remise en question : Comment puis-je m’investir ? Comment puis-je faire mieux que la dernière fois ? Comment aider mes collègues ? Comment bien m’exprimer ?

Au jour d’aujourd’hui, je ne regrette aucune de mes collaborations. Certaines n’ont pas fonctionné, d’autres ont débouché sur des projets très concrets. Chaque collaboration fonctionne de façon différente. Il faut alors savoir s’adapter aux particularité de chacun et à l’équipe afin de créer un ensemble cohérent qui marche.

 

Publier et partager

Après une pause de près d’un mois (une éternité), je rattrape mon retard dans le MOOC ITyPA. Cette semaine, nous parlons de publication et de partage.

Parler de partage et de publication revient à se demander qui nous sommes et quelle image nous souhaitons donner de nous. Tout ce que nous posterons sur internet constituera notre identité numérique, sorte de projection astrale de nous-même qui erre sur le réseau.

Deux postures peuvent être adoptées quant à son identité numérique :

1) Je souhaite que cette identité reflète ce que je suis vraiment. Je vais partager mes passions, raconter mon quotidien, créer des liens avec des gens qui partagent mes centres d’intérêts…

2) Je souhaite m’éloigner de ce que je suis vraiment pour me projeter ailleurs et profiter d’internet pour me construire une autre identité. Je vais aller vers d’autres centres d’intérêts, construire un univers à part…

Dans tous les cas, partager et écrire sur internet n’est jamais anodin, car une fois que c’est fait… c’est définitif.

Alors comment partager et publier ?

1) Choisir ce que l’on veut dire : Est-ce que je veux partager l’actualité du moment ? Est-ce que je veux discuter avec d’autres personnes directement ? Est-ce que je veux raconter mon expérience au quotidien ?…  Il s’agit là de bien cibler ma motivation en tant qu’internaute.

2) Choisir son média : Les vecteurs de diffusion sur internet sont presque infinis. Du commentaire sous un produit sur Amanzon au billet de blog en passant par le retweet, tout ça peut s’apparenter à une démarche de partage. Le média doit correspondre à ce que l’on veut dire. Si l’on veut partager son quotidien, un blog sera intéressant.
Si l’on veut suivre l’actualité ou la commenter, des outils de curation, de suivi de flux RSS ou Tweeter peut faire l’affaire.

3) Soigner ses publications : Que ce soit de la publication ou du partage, il faut toujours être vigilent à ce que l’on met sur le net et être en mesure d’assumer ses propos dans le temps. Si je poste quelque chose aujourd’hui, je ne m’en mordrais pas les doigts dans quelques mois ou quelques années. Être vigilent aussi aux infractions de presse, ne pas tomber dans l’injure ou la méchanceté gratuite envers une personne, connue ou anonyme. Écrire dans un français correct est aussi un plus non négligeable.

D’une certaine façon, s’exprimer sur internet est un art qui construit une image de nous accessible de tout les autres internautes. Mais il ne faut pas pour autant avoir peur de se lancer. Internet est une chance de se cultiver, de partager, de créer des univers, de ne pas rester seul…

J’invite tous mes lecteurs à partager en commentaire leur expérience du partage et de la publication ainsi que les motivations qui les ont poussé à franchir le pas.

Chercher et veiller

Le temps passe vite et nous voici en semaine 4 du MOOC ITyPA. Je regroupe ici les semaines 3 et 4 pour plusieurs raisons. La première c’est que les activités proposées dans ces 2 semaines sont très liées. La seconde raison est que je n’ai pas eu le temps d’écrire un billet spécifique pour la semaine 3.

Semaine 3 : La recherche sur le web s.qwant.com

Chercher est la première chose que l’on fait quand on se connecte sur internet, d’une façon ou d’une autre. En témoigne l’éloquent compteur qui défile ici : http://www.planetoscope.com/Internet-/1474-nombre-de-recherches-sur-google.html

Chercher c’est se poser une question, demander une information. Pour répondre à cette demande, le moyen le plus connu est de s’adresser à notre ami de toujours, le puissant Google.

Mais avec ITyPA, nous apprenons que nous pouvons avoir d’autres amis et utiliser d’autres outils. D’abord, Google n’est pas le seul moteur de recherche généraliste du web. Il en existe beaucoup d’autres comme Bing, DuckDuck Go, Qwant ou Yahoo (et bien d’autres).

Il existe aussi des répertoires et des moteurs de recherches spécialisés dits aussi “verticaux”. Il en existe des centaines sur tout et n’importe quoi : sur des sujets, sur des supports (slideshare pour trouver une présentation par exemple).
Voici quelques liens que j’ai glané ça et là mettant en avant des moteurs de recherches spécialisés :

Sans oublier les réseaux sociaux (G+, Twitter, Facebook…) qui peuvent s’avérer redoutable.

L’objectif est de bien comprendre que le web ne se limite pas à Google et qu’il existe un pan immense d’informations pertinentes qui ne sont pas visibles autrement qu’en fouillant par des chemins détournés.

ITyPA est aussi l’occasion de découvrir de nouveaux concepts tel celui de la sérendipité. Un gros mot pour dire que de temps en temps, il peut être intéressant de se perdre dans le web et de naviguer de liens en liens au gré des courants et des thèmes. Des outils comme Wikipédia ou Pearltrees me semblent adaptés à la pratique de la sérendipité mais chacun peut se faire sa propre expérience avec les outils dont il a l’habitude. Un site d’information comme le site du journal Le Monde peut aussi permettre de découvrir des tas de choses intéressantes.

Semaine 4 : Veillers.qwant.com

Pour de nombreux professionnels, la veille est une activité centrale. Organiser sa veille pour qu’elle soit efficace et rapide est un travail incontournable. Il s’agit avant tout, de définit une véritable  stratégie de veille en commençant par se poser cette question : Qu’est-ce que je veux veiller ? Quel sujet ? Qu’est-ce que je veux recevoir comme information ? De quel média ?

Une fois que l’on a répondu à ces questions, il faut faire la liste des sites sur lesquels on  a l’habitude de trouver les informations correspondantes. Identifier les sites disposant d’un fil twitter, d’un flux RSS afin d’organiser ses outils seront les prochaines étapes.

Sur twitter, je conseille l’utilisation de Tweetdeck qui permet d’avoir sur un même écran plusieurs fils, de gérer plusieurs comptes, d’isoler une recherche avec un mot clé ou d’isoler un compte dans une colonne indépendante. Cela permet de ne rien rater. Tweetdeck peut s’utiliser en ligne ou via une application à télécharger comme un logiciel.

Pour la gestion des flux RSS, je recommande l’utilisation de Netvibes. Je commence à peine à utiliser cet outil et je suis loin d’avoir vu tout son potentiel. Mais pour les personnes qui ont beaucoup de flux RSS, ça me semble être un outil très très utile. Des tutos sont disponibles un peu partout sur le net  pour arriver à le maitriser.

Pour les personnes qui souhaitent aller plus loin que de la veille et faire de la curation, c’est à dire sélectionner, éditer et commenter un contenu, je recommande l’outil scoop.it que j’ai adopté presque aussitôt après l’avoir essayé.

Dernière étape de ce processus de recherche et de veille : la conservation de l’information. Avant quand on tombait sur une page qui nous intéressait, soit on l’imprimait, soit on la mettait en favoris dans le navigateur. Tout ça est devenu un peu dépassé. Place aux outils de bookmarking ! Un site de bookmarking permet à la fois d’organiser et de stocker ses favoris mais aussi de les partager avec les autres membres de la communauté et de se créer un réseau. J’ai 2 sites de bookmarking à conseiller :

  • Pearltrees : Découvert il y a 4 mois grâce à une connaissance qui me l’a vivement conseillé. Le site est graphiquement bien fichu, tout habillé de bleu avec une ergonomie plutôt réussi. Il est possible de créer des catégories pour classer ses favoris, Pearltrees appelle cela des “Collections”. Le site vous informe ensuite lorsqu’une personne a ajouté le même élément que vous et vous propose des collections sur les mêmes thématiques que vous. Idéal pour pratiquer la sérendipité et enrichir sa culture ou, tout du moins, ses propres collections. La personnalisation est très limitée et les collections créées sont obligatoirement publique. Pour avoir des collections privées et une personnalisation avancée, il faudra souscrire un compte prémium.
  • Diigo : Découvert grâce à ITyPA, ce site de bookmarking social est un peu à part. Ses fonctions sont beaucoup plus avancées que Pearltrees. Il permet de commenter un favoris, de conserver des notes mais aussi de partager avec les autres ses trouvailles et de créer des conversations. C’est le point fort de Diigo. Par exemple, dans ITyPA, nous avons créé un groupe dans Diigo où nous partageons les ressources que nous trouvons en relation avec les thèmes du MOOC et nous en discutons. Le point faible de Diigo est son interface très austère et un peu rebutante au premier contact. Pour ne pas se décourager, de très bon tutos sont disponibles partout sur le net.

Merci de m’avoir lu et à bientôt pour une prochaine semaine d’ITyPA !

Construction de l’EAP

L’EAP ou Environnement d’Apprentissage Personnel a été présenté cette semaine par l’équipe encadrante du MOOC ITyPA. Il semble bien que la création de l’EAP par les apprenants soit le fil rouge de cette formation pas comme les autres.

Donc l’EAP, c’est un espace où l’on regroupe les éléments et les ressources que l’on utilise au quotidien lorsque l’on suit une formation. On commence l’EAP en tout début de formation et on le boucle une fois qu’on termine ladite formation. Mais comme le souligne Marco Bertolini, encadrant du MOOC ITyPA, l’EAP n’est pas un espace figé. C’est un espace en constante évolution qui se nourrit des interactions de l’apprenant avec d’autres et de ses apprentissages. D’où l’utilisation du terme environnement.

L’intérêt de l’EAP tel que je le comprends aujourd’hui est double :

  • Commencer par poser les bases : Ses motivations, ce que l’on veut apprendre et quels moyens on se donne pour y parvenir.
  • Réunir un seul lui tout ses outils : Avoir une vision d’ensemble des outils que l’on utilise, ceux qu’on découvre en cours de formation, ceux que l’on préfère et ceux que l’on ne retiendra pas. Ainsi, le risque de se disperser parmi la masse d’outil dispo sur internet est limité.

Ce qu’on découvre avec l’EAP c’est la diversité des outils qu’on utilise et surtout de nouveaux usages de ces mêmes outils.

L’EAP peut se présenter sous différentes formes, si j’ai bien tout compris. Il n’y a de limite que l’imagination de l’apprenant et ses capacités à utiliser les outils à sa disposition. Pour ma part, je continue sur ma lancée en modélisant mon EAP avec une mindmap créée grâce à mindomo.

Voici donc les premiers éléments de mon EAP : https://www.mindomo.com/fr/mindmap/516fbe6a12144d6d8ac79667a4099eff

Un CV en mindmap

Dans ITyPA, pas question de se reposer devant des vidéos de cours. L’équivalent des cours, si l’on peut dire, sont les “speachs”. Ce sont des sortes de diapositives où l’on trouve des vidéos très courtes, des liens vers des ressources pédagogiques et le descriptif des activités proposés aux participants.

Une fois le speach passé, une seule chose à faire : mettre les mains dans la tambouille.

La première semaine est l’occasion de faire le tour de speach.me, d’utiliser le forum, et surtout d’apprendre à échanger avec les apprenants.
Il faut bien comprendre que participer à un MOOC connectiviste comme ITyPA sans échanger avec les autres présente un intérêt très limité et, à mon sens, une perte de temps. C’est pas toujours facile, mais une fois lancé, on ne peut pas le regretter.

Le contact avec les autres apprenants apportent plusieurs choses :

  • Une dynamique de participation au MOOC
  • Apprendre à se servir de nouveaux outils, de nouveaux logiciels
  • Avoir de nouvelles idées pour ses propres usages
  • Rencontrer des gens vraiment sympas

Après avoir vu un autre apprenant faire son CV en mindmap via notre outil mindomo, je me suis lancée. Je partage ici le résultat :

https://www.mindomo.com/fr/mindmap/216798ca4cda4765afd8cba51a4b1ce9

Se présenter sur ITyPA

Qui a dit que se présenter était une chose simple et banale ? Sur ITyPA, chaque petite chose devient une occasion d’apprendre quelque chose et surtout de créer quelque chose.

La présentation est l’occasion de se familiariser avec un des outils star du MOOC, le logiciel Mindomo qui permet de faire des cartes heuristiques (mindmap). J’ai déjà eu l’occasion d’utiliser des outils de mindmapping à d’autres occasions. Habituellement, j’utilise le logiciel XMind mais je sais qu’il en existe beaucoup d’autres. Je n’avais jamais entendu parler de MIndomo avant d’arriver sur ITyPA.

Un logiciel qui peut aussi s’installer comme application dans Google Drive. Les options de bases sont gratuites, les plus avancées sont payantes.

Voilà donc après 30 minutes de prise en main et de bidouillage, la première version de ma présentation Mindomo spécialement faire pour ITyPA ; https://www.mindomo.com/fr/mindmap/f7d5f8ae185d411fab344f38f8d9da36